La commande à l'auto, ça me fâche!

Pascal Morrissette s'interroge : pourquoi continuer à porter des talons hauts malgré l’inconfort? Julie Ringuette et Chloée Deblois défendent l'effet puissant de ces chaussures sur la confiance, ouvrant un échange sincère sur les standards de beauté et le pouvoir qu’on accorde à ce simple accessoire. En France, un congé de santé gynécologique suscite aussi le débat : Julie partage les réactions contrastées des milieux de travail, particulièrement des hommes, face à cette reconnaissance des douleurs menstruelles et de la périménopause. Enfin, Julie surprend ses collègues en révélant qu’elle prend de la testostérone. Elle raconte son parcours hormonal avec honnêteté, abordant les tabous, les perceptions générationnelles et les réalités peu discutées de la périménopause. Une conversation franche qui fait tomber les barrières.  

Dans cet épisode du Retour de l’été, Pascal Morrissette, Julie Ringuette et Chloée Deblois explorent le recul de la consommation d’alcool au Québec, partageant expériences et réflexions sur la pression sociale liée à boire. Julie confie son vide lors d’une Saint-Jean calme, tandis que Pascal et Chloée s’interrogent sur le besoin réel d’alcool pour être heureux. Ils discutent aussi du « JOMO » — la joie de manquer certains événements — et de la transformation des priorités avec le temps et les responsabilités. En surprise, Julie lance un défi pour raviver la flamme dans les couples par de petites attentions, mêlant douceur et humour. Enfin, ils abordent l’économie circulaire à travers le partage de vêtements, invitant à repenser nos liens à la consommation et à l’amitié.

Pascal Morrissette revient sur son tout premier triathlon, une expérience où il choisit de ne pas courir après la performance, mais de savourer chaque instant, même au cœur de l’effort. Il partage ses défis, ses réflexions et les précieux moments passés avec ses proches, démontrant qu’on peut arrêter une course pour un câlin sans perdre l’essentiel. Avec Maïka Desnoyers et Chloée Deblois, il questionne l’accessibilité du sport de haut niveau et les barrières invisibles qui en éloignent plusieurs. Ensemble, ils replongent aussi dans leurs souvenirs d’enfance, à travers les lunchs douteux et les petits plaisirs sucrés de l’époque. Ils terminent sur une note musicale en dévoilant les paroles québécoises qui les ont marqués et les chansons qui continuent de vibrer en eux.