Paul Arcand à la barre de l’émission de radio la plus écoutée au Canada

À l’occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand revient sur l’élimination des Canadiens de Montréal en séries éliminatoires. En s’imposant 4 à 1, les Capitals de Washington ont infligé une quatrième défaite décisive à l’équipe dirigée par Martin St-Louis. «Pour être franc, personne ne voyait les Canadiens en séries. [...] Le noyau de l'équipe est pas mal solide avec Nick Suzuki et Cole Caufield. Surtout, on sent le progrès. La reconstruction donne un résultat.» Il s'agissait d'un retour en séries pour les jeunes joueurs du Tricolore, une première depuis 2021. Autres sujets abordés Lors du procès des cinq anciens joueurs d’Équipe Canada junior accusés d’agression sexuelle, la Couronne a présenté une vidéo dans laquelle la victime présumée consentirait à l’acte; Le gouvernement du Québec va interdire officiellement les cellulaires dans toutes les écoles publiques et privées, au primaire et au secondaire; Le président américain, Donald Trump, pense que les enfants risquent d'avoir moins de jouets à Noël cette année; À Trois-Rivières, les pompiers se font saisir leurs haltères par leur employeur.

À l'occasion de sa revue de presse, mardi matin, Paul Arcand passe au peigne fin les résultats des élections fédérales.  Avec ses deux experts invités - le chroniqueur Dimitri Soudas, ex-directeur des communications du premier ministre canadien Stephen Harper, et Philippe Léger, chroniqueur politique au 98.5 - il fait le point sur l'élection du libéral Mark Carney à titre de premier ministre du Canada. Ce dernier dirigera toutefois un gouvernement minoritaire.  Le PLC a obtenu 168 sièges à la Chambre des communes contre 144 pour les conservateurs. Quant au Bloc québécois, il a remporté 23 sièges. Le NPD a 7 sièges et le Parti vert 1. «Même si le résultat est moins bon qu'escompté pour Mark Carney, c'est quand même un résultat inespéré pour les libéraux. Ils se trouvent aux manettes du pouvoir. Pour Pierre Poilievre [...], ça demeure une défaite dans un contexte où il devait gagner.» -Philippe Léger «La réalité d'hier, c'est que les libéraux ont perdu des plumes à travers le Canada, sauf au Québec. Donc, Mark Carney, ce nouveau chef qui parle un français quand même pénible, a gagné plus de sièges au Québec que Justin Trudeau à l'élection de 2015 quand il a obtenu sa majorité. Hier, le Québec a sauvé le Parti libéral du Canada.» -Dimitri Soudas Le chef libéral a, sans surprise, été élu dans sa propre circonscription, tout comme le bloquiste Yves-François Blanchet, mais le scénario a été tout autre pour Pierre Poilievre et Jagmeet Singh, qui ont été battus.

À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand fait le point sur l'attaque au camion-bélier à Vancouver. La communauté philippine s’était rassemblée pour célébrer le festival Lapu Lapu, samedi soir, lorsqu’un conducteur à bord d’un VUS a foncé dans la foule. Le bilan : au moins 11 morts et une vingtaine de blessés. Le suspect fait face à des accusations de meurtre au deuxième degré. Mais pourquoi a-t-il commis un tel geste? «Il y a pas de motifs en tant que tels, indique Paul Arcand. Il n'avait pas de griefs contre la communauté [...] La police a dit que ce n'est pas un acte terroriste, c'est plutôt quelqu'un qu'on connaît qui a des problèmes de santé mentale. La police est intervenue à plusieurs reprises chez lui. Ça a été confirmé.» Autres sujets abordés Jour de vote: les bureaux de scrutin sont ouverts de 9h à 21h30; La mafia et les Hells auraient décidé de faire la paix; Après s'être effondrés en troisième période, les Canadiens de Montréal s'inclinent face aux Capitals de Washington, qui mènent maintenant la série 3 à 1. 

À l'occasion de sa revue de presse vendredi, Paul Arcand s'en prend à la décision de l'Office québécois de la langue française (OQLF) qui a demandé à la Société de transport de Montréal (STM) de remplacer son message «Go Canadiens Go» sur les panneaux électroniques de ses autobus.  Interrogés à ce sujet jeudi, la plupart des élus provinciaux ont indiqué qu'il s'agit d'une expression québécoise qui ne menace pas la langue française. «L'affaire est devenue une discussion nationale [...] C'est du niaisage et du gaspillage [...] La langue française est-elle mieux protégée maintenant? [...] Tout le monde utilise le "Go Habs Go", même pas le "Go Canadiens Go". Ça fait 100 ans que l'expression est connue en français comme en anglais, alors c'est quoi le problème?»  «Tout le monde convient que c'est ridicule. Encore une fois, on a l'air d'une gang de bozos. [...] Ça devient une distraction alors qu'on devrait être concentré sur la fête et sur la joie liées au fait que les Canadiens soient en séries.» Autres sujets abordés Match numéro 3: Montréal se prépare pour une grande soirée Trump fait tout pour livrer l’Ukraine à la Russie tel que demandé par Poutine Caisse de dépôt et de placement: performance en baisse, bonis en hausse Les sœurs de Gilbert Rozon trouvent que leur frère fait pitié